L’ingénieur en énergies renouvelables est amené à travailler sur des projets liés à l’éolien, au photovoltaïque, à l’hydraulique, à la biomasse, … Il participe et coordonne la phase d’avant-projet, qui précède la phase de réalisation, en passant des demandes d’autorisations. Son but final : obtenir un permis de construire.
C’est un expert disposant de connaissances techniques approfondies dans le domaine énergétique. Il analyse et évalue les techniques actuellement connues en matière d’énergies renouvelables. Il fait également des recherches pour développer de nouvelles techniques avant-gardistes.
Cet article va vous permettre d’en savoir plus sur ce métier et les formations à suivre pour devenir ingénieur en énergies renouvelables.
L’ingénieur en énergies renouvelables s’assure que le projet réponde aux objectifs fixés (rentabilité, sécurité, respect de l’environnement et des délais) grâce à des tests de faisabilité en identifiant les contraintes techniques, environnementales et réglementaires.
Il peut sélectionner les sites d’implantation d’un parc éolien par exemple en fonction de différents critères comme le potentiel éolien, les sensibilités environnementales du site ou encore la proximité du réseau électrique.
En photovoltaïque (lumière solaire transformée en électricité) ou photo-thermique (lumière solaire transformée en chaleur), l’ingénieur cherche à diminuer les coûts de production. Dans le domaine de la géothermie, il va rentabiliser l’exploitation des couches souterraines profondes.
Son travail peut parfois relever des aspects commerciaux voire de communication. Il doit également se concerter avec les propriétaires, les riverains du projet, les élus locaux et les administrations.

Quels sont les débouchés pour l’Ingénieur d’études énergies renouvelables et efficacité énergétique ?

Le métier d’ingénieur études énergies fait partie des nouveaux métiers dans le secteur de l’énergie. Il répond à un besoin immédiat dû à la prise de conscience de la protection de l’environnement et au désir de moins consommer.
Les perspectives de travail pour cet ingénieur sont nombreuses. Il peut travailler notamment dans les entreprises d’études et de conseil en ingénierie. Il peut également être recruté par les bureaux d’études thermiques.
Par la suite, l’ingénieur peut évoluer vers un poste de responsable technique de projet, ingénieur procédés énergies, acheteur ou bien chef de projet chargé des travaux sur le chantier.

Quelle formation faut-il faire en France?

La plupart des ingénieurs en énergie sont issus d’écoles d’ingénieurs généralistes. Pas moins de cinq années d’études supérieures sont nécessaires pour accéder à ce métier. Dans la grande majorité des cas, les diplômes provenant d’écoles d’ingénieurs sont plébiscitéés par les recruteurs.
Les écoles d’ingénieurs généralistes comme l’École polytechnique, les Écoles centrales ou encore les Mines constituent des parcours prisés. De même, les écoles d’ingénieurs avec une spécialisation en ingénierie environnementale comme Centrale Lyon et Paris, ou encore les ENSA de Rennes et Toulouse sont elles aussi très recherchées.
Il en va de même pour les formations dispensées au sein des écoles d’ingénieurs spécialisées en mécanique, micromécanique, électronique, électricité… Enfin, certains masters en universités peuvent intéresser des recruteurs, à condition qu’ils soient orientés vers les énergies et l’environnement.
Pas moins de cinq années d’études supérieures sont nécessaires pour accéder à ce métier. Dans la grande majorité des cas, les diplômes provenant d’écoles d’ingénieurs sont plébiscités par les recruteurs. Les écoles d’ingénieurs généralistes comme l’École polytechnique, les Écoles centrales ou encore les Mines constituent des parcours prisés.
De même, les écoles d’ingénieurs avec une spécialisation en ingénierie environnementale comme Centrale Lyon et Paris, ou encore les ENSA de Rennes et Toulouse sont elles aussi très recherchées. Il en va de même pour les formations dispensées au sein des écoles d’ingénieurs spécialisées en mécanique, micro-mécanique, électronique, électricité…
Enfin, certains masters en universités peuvent intéresser des recruteurs, à condition qu’ils soient orientés vers les énergies et l’environnement.